4.9.06

[Francisco de Goya y Lucientes - El levantamiento y la caída.]
A.R. Versus ella misma…
Interminablement, jusqu’aujourd’hui, Je soutiens que tout doit être bien fait sinon ne pas lui essayer. J’amène ‘le tout’ jusque ses conséquences ultimes, soit ma personne, mon esprit, le physique soit mes attaches car ils sont l’unique que j’en crois et pour ils je suis.
J’essai ma cohérence sur les opposés… très incisive vers moi-même ; je plais de l’auto immolation animique pour me sentir humaine et quand je casse avec l’animal rational donc je suis une merde, une fille complètement moche.
J’ai changé, il y a beaucoup d’ans que je ne me battre pas avec quelqu’un dans la rue, c'est-à-dire, vulgaire et viscéralement. Moi, je n’ai jamais été de cris ou des raffuts, moins des poussées.
J’ai trois bagarres, cependant, la paire sans avantage corporelle et la dernière de technique:
1. Juana N. N. : Avant que j'eusse boxé, à 17 ans, j’ai craché la gueule d’une nana qu’au moment m’a ignoré mais le jour suivant m’a cherché avec des autres deux porcs, plus hautes et âgées que moi. Elle a fait du piège, elle m’a surprends par derrière et m’a déboutonné la chemisier. Je pense que l'humiliation et sa traîtrise m’ont enflammé. J’ai pu la tirer sur le sol une fois, c’a eu évident, en raison du poids, elle s’est soutenu. Nous avons bien battu mais je n’ai pas saigné.
2. Martha López Espinoza « La Tísica » : La deuxième, ahhhhh, je la souviens avec une sourire honnête et certain plaisir. Inévitable. Ç’a été contre une appréciable voisine qui avait 44 ans et moi 22. Je n’ai pas mis les mains pendant qu’elle m’a tirais et griffais par le cou, parce que je savais que c’était mal, n’écoutais pas ses insultes, non plus la bouche de sa fille. Dans mon intérieur, je me disais « …tu est une personne académiquement préparée, une humaniste… et blah, blah, blah»mais il y a d’instinct et j’ai réagi. Je n’ai pas su qui m’arrivé, seulement, je souviens la volée que je l’ai mis, le temps prolongé. J’ai la planté et l’exigé pardon. Elle m’a poursuivi en justice pour fracture de nez et de pommette et là, elle m’a aussi remercié. Au peu temps, elle s’est tiré d’ici.
Dans mon cas, la finale est l’initiale. Il n’a plus d’un an. C’a été conscient, c’a été en boxant et j’ai voulu pleurer mais j’ai enduré. Au début, à l’instant, la technique et tous les connaissances conquêtes « s’oublient ». Presque tout est réflexe et se faire « lucidement » des répétitions ou les séries de coups. J’ai un bon ‘punch’ et quand je n’arrive à quitter le coup, je mis plus mon corps pour pouvoir frapper plus au contraire, c’est ainsi.
C’est de drop ici dire qu’on sait que les coups seront réciproques malgré cela, je ne sais pas comme expliquer ça que tu sens quand tu les reçois puisque de ça tu est déjà consciente, il semble comme les piercings, tout le moment la douleur est présente mais c’est bien. Le problème en boxant est que, ja, « tu sens» mais tu ne peux pas mettre en colère parce que tu arrêtes de voir au rival.
Dans la troisième tour, j’ai pensé que cette fille m’avait cassé le nez, je n’ai pas saigné mais j’ai senti et j’ai écouté comme il s’est déplacé. Elle a frappé considérablement au-dessus, moi, jamais n’avais pas eu tant de cognition de mes côte. J’ai mesuré et placé des jabs, des uppercuts. Là, le coup n’est pas un coup; plutôt, le gant brûle mais tout se distingue après. À la fin, j’ai pu tirer son masque et j’ai pu le casser parfaitement son visage. Nous avons pris le même place et nous avons changé des phrases : « …Che Alilla/Mugrosa pegas duro… »
En la calle no puedo hacer eso porque aparentemente hay desventaja. Tendría un momento para ver, acomodar el dónde y cómo y supongo lo que seguiría.
Ayer me contuve mucho.

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